Je l'ai remarqué récemment : l'éclat de ses yeux a changé. Je répugne à l'admettre, mais c'est pourtant là. McCaan aussi le sait. Je voudrais aller le voir ; lui dire de ficher le camp, d'aller en Angleterre ou de rentrer au Canada, peu importe ; de ne pas rester ici. Mais on ne peut pas se dérober : cela vous trouve toujours, le moment venu. Nous savons, l'un et l'autre, qu'il n'en a plus pour longtemps ; nous n'en parlons pas. Qu'est-ce que cela changerait ?