Nos parents ont composé, se sont adaptés, sans vraiment comprendre ou être préparés. Ils n’ont jamais été formés pour ce rôle. Ils ont appris sur le tas. En autodidactes. Mais lorsqu’il fallait être là, prendre des décisions quant à notre éducation, répondre à nos questionnements incessants, s’occuper de nous quand on était malades, tristes ou démunis, ils trouvaient toujours une solution qui sonnait comme parole d’évangile. (p. 137)