Sur chaque meuble, sur chaque objet, il avait laissé son empreinte, un peu de lui-même. Guillaume était né là, et il y avait toujours vécu. (...)
Elle refusait de croire que son père fût couché là, froid et absent pour toujours. Il tenait sa main, lui parlait comme dans son enfance, avec une douceur constante et iréelle.
IV. La guerre, mangeuse d'hommes