Quelque chose l’empêchait de jouir pleinement de sa félicité. Il savait maintenant combien le bonheur est fragile et l’inquiétude le tenait en éveil. Il apprenait que la flamme de l’amour ne brûle claire et pure que si le souffle de l’incertitude vient le vivifier. Ce dernier, qui autrefois n’était qu’intermittent et inégal, soufflait maintenant comme un vent calme et constant.