Les battements de son coeur s'accélérèrent. Et en moi, la faim se réveilla, toujours avide, mais curieusement, cette fois je pouvais l'ignorer. Je ne pensais pas au sang qui courait sous sa peau. Je ne pensais pas aux battements de son coeur, à son contact physique ou au pouls battant dans sa gorge. Je ne pensais qu'à lui.