Le "déclic", la raison qu'on donne [à la rupture], n'est en fait que la situation de trop, celle qui force la prise de conscience ultime, la situation qu'on ne peut plus ignorer. Mais elle s'impose de façon holistique, comme un bloc. La nécessité de la rupture se manifeste comme un impératif vital, où il est question, dans le lexique métaphorique, de respiration. J'étouffe, je ne peux plus respirer, j'ai besoin de prendre l'air.