Des mégots de cigarette dans chaque cendrier, une brûlure dans les fleurs du divan, les disques éparpillés. Sa joue d'enfant, ses lèvres de femme contre celles de Janou troublée. Véronique a laissé ses traces comme l'on creuse l'écorce de l'arbre pour graver son nom jusqu'au cœur. Elle reviendra, Janou le sait. (p. 16)