Le problème, s'agace le chercheur, c'est que, "techno- narcissisme" oblige, on a souvent surdéterminé le rôle réel de ces plateformes : leurs algorithmes sont sensibles aux émotions fortes, aux convulsions du rire, aux grondements de la colère. Autrement dit, elles peuvent s'avérer utiles pour renverser un régime autoritaire. Mais ensuite, ce n'est certainement pas sur Facebook que l'on peut construire le consensus.