À ses collègues, Bernard Barrel clamait souvent que l’on naviguait sur les eaux de la Méditerranée comme on cheminait dans la vie. On y plongeait comme on explorait l’inconscient. Ses abysses renfermaient des créatures étranges, comme l’insondable obscurité de nos abîmes. La mer, la mère, la mort, l’âme or.