Quant aux Shimazu, ils demeurent inébranlable, ignorant les appels réitérés de Mitsunari à engager leurs forces en ce moment où le sort peut basculer en faveur de l'armée de l'Ouest. Pis : Shimazu Yoshihiro manque de faire exécuter une enième estafette qui n'avait pas trouvé la force de descendre de cheval pour mettre un genou en terre avant de délivrer son message. Pour toute réponse, l’orgueilleux daimyô du clan Shimazu, toujours vexé d'avoir été humilié la veille lors du conseil de guerre à Ogaki, fait dire à Mitsunari que chacun doit se mêler de ses propres affaires et qu'il n'a "pas de temps à perdre à s'occuper de celles des autres, que ceux-ci se trouvent devant, derrière ou sur ses flancs".