Il n’avait jamais cru en Allah, en Zarathushtra, ni en aucune divinité des temples enfumés de Samarkand. Il avait même perdu la foi en l’intervention divine. Une unique foi lui était restée – celle de soi-même. Que les autres aillent prier leurs dieux et leurs saints. Si sacrifice il devait y avoir, alors il l’accomplirait sur un autel dédié à lui-même.