J'imagine que je suis snob, pérorait-il. Je méprise les villes. Je méprise les citadins. Ils ont l'esprit étroit et le derrière large. Autrement dit, leurs grosses fesses compensent leur misère intérieure. Ils sont pareils à la mauvaise nourriture. Bourrés de graisses mais, au bout du compte, affreusement insatisfaisants.