Gabrielle s'étira, arrachant Adam à ses pensées. Recroquevillée en chien
de fusil, elle reposait sr lui, sa joue calée contre son coeur et sa hanche
collée contre le renflement de son sexe comprimé par le jean. Cette partie
de son anatomie semblait dorénavant dotée d'une vie propre, n'obéissant
qu'à une simple loi de la nature : « Elle est là, je me dresse... »