La violence appelle la violence. Et les condamnés de la veille, vous le savez, ne deviennent que trop facilement les martyrs du lendemain. Recourir à des mesures radicales ne ferait que nous susciter de nouveaux adversaires… Non, si ces mécontents n’approuvent plus notre société, je m’en voudrais de les retenir : qu’ils aillent se créer ailleurs leur propre paradis, s’ils en sont capables ! La place de tels fauteurs de troubles, qui refusent de s’intégrer à une humanité enfin unie, n’est plus sur la Terre !