Je pense que c'est une façon de profiter de la diversité de la vie. J'ai connu autrefois un homme qui répartissait les oiseaux en aigles, moineaux et canards - il trouvait que c'était suffisant comme ça. Tu imagines comme la vie doit être plus riche pour celui qui ne se contente pas de penser "canard" quand il voit un oiseau de mer - mais ouette marine, albatros hurleur, pétrel des neiges, océanite de Wilson... (p.242)