Quand je suis sortie pieds nus des vestiaires dames à la piscine, j'ai guetté mon Forestier parmi les baigneurs. Puis, tout à coup il s'est matérialisé devant moi en slip de bain de location, hanches étroites, épaules larges et bras musclés. Le visage et les avant-bras étaient bronzés, le reste du corps blanc comme de la craie. Les cheveux poussiéreux et jaunes tremblaient en boucles dorées et mouillées.
A la cafétaria, quand j'ai caressé son mollet avec mes orteils, il a posé son drap de bain sur ses genoux avec une grimace gênée et ça ne m'a pas échappé.
Mes ovaires faisaient des sauts périlleux, et j'étais pressée de l'emmener chez moi, le plus tôt serait le mieux.