— Mais qu'as-tu donc dans ton ventre pour qu'il soit si gros ? répétait Tatsu, l'impératrice de la branche aînée des Akakuchiba que personne n'osait contredire mais qui n'arrêtait pas de trotter sur les talons de Man’yô d'un air affolé. Surtout que derrière Tatsu, les hommes et les femmes des branches collatérales la suivaient aussi comme la crotte au cul d'un poisson rouge. Clapoti, clapota, les deux derniers mois avant l'accouchement, le bruit liquide résonna un peu partout dans la résidence.