Margoz avait été ce plus faible. Il avait vite appris qu’il valait mieux faire ce qu’on lui demandait, tout en étant le plus accommodant possible, afin d’éviter de devenir la victime de violences.
Mais Margoz ne ressentait plus cette peur. Ni aucune autre d’ailleurs. À présent, Margoz avait un protecteur. En fait, Margoz devait suivre ses ordres, mais cette fois, la récompense était le pouvoir et la richesse. Auparavant, la seule récompense qu’il obtenait était de ne pas se faire taper dessus pendant quelque temps. Peut-être que ce n’était que troquer une peur viscérale contre une autre, mais Margoz trouvait que cela marchait bien mieux ainsi pour lui.