Kenneth Robeson

Des centaines de millions de dollars ont été dépensés pour faire de la grande exposition universelle de New-York un événement international.

The biggest in the world !

Or, le 13ème jour, le diable y fit son apparition, une sorte de belzebuth de huit pieds de haut alourdi d'un embonpoint extrême ...

Deux hommes disparurent ...

Et le professeur Martin Uppercue, du sang plein le visage, fit irruption de son laboratoire avant de disparaître dans les buissons ...

Cela ressemble fort au premier chapitre d'une nouvelle aventure mystérieuse de Doc Savage !

Mais qui est Clark Savage ?

Il est américain.

C'est une sorte de géant musclé à la peau de bronze, un aventurier redresseur de torts qui est aussi un inventeur génial, un chirurgien accompli et un technicien redoutable.

Doc fit sa première apparition, en 1932, dans la publication "the Shadow" où le temps d'un premier épisode pilote de 28 pages, il se lançait à la poursuite des assassins de son père.

Et, en février 1933, une première aventure intitulée "l'homme de bronze" fut publiée dans la première édition du "Doc Savage magazine".

Le succès fut retentissant.

Les ventes s'élevaient à 200.000 exemplaires par mois.

Sous le pseudonyme de Kenneth Robeson se cachait d'abord Lester Dent, un ancien télégraphiste du Missouri, bientôt rejoint par Laurence Donovan qui contribua à l'écriture de neuf aventures, puis par d'autres dont William G. Bogart qui en écrivit quatorze.

Ce qui explique la différence de style, de qualité dans l'écriture des différents tomes de la série.

Doc Savage est parfois accompagné dans ces aventures mystérieuses et fantastiques par sa cousine Pat, et plus fidèlement par cinq compagnons atypiques : Johny, Renny, Ham, Long Tom et Monk ... Chacun d'eux ayant sa spécialité : géologue, ingénieur, avocat, électricien de génie et chimiste.

Dans les années 60, Doc Savage fut incorporé par les éditions Marabout dans sa collection "pocket" où l'on retrouvait aussi les aventures de Bob Morane, Nick Jordan, Jo Gaillard, Kim Carnot et Dylan Stark.

Ces petits opuscules, au charme indéniable et suranné, sont aujourd'hui bien difficiles à se procurer.

Mais réservent parfois d'agréables moments de lecture à qui aura su les dénicher ...

Doc Savage est un personnage créé en 1933, comme Superman. C’est un aventurier, riche américain, Il y a un peu de Superman, mais je dirais plutôt du Batman, puisque son physique est particulièrement performant en grande partie grâce à l’entretien et à l'entraînement et ses super-pouvoirs sont purement techniques et scientifiques. Enfin, quant à l’histoire, elle ferait plutôt penser à Bob Morane : Doc Savage agit avec son équipe, et l’aventure les entraîne dans la jungle, à la rencontre de peuples anciens, de sociétés secrètes. Ses coéquipiers ont tous les cinq de sérieuses connaissances dans leur domaines respectifs, chimie, électronique, archéologie, ingénieur, avocat, et sont tous d’anciens combattants aguerris, aux compétences physiques de haut niveau, c’est un véritable commando d’élite.



Dans cette aventure, on va avoir à faire avec les Mayas, dans une petite république imaginaire d’Amérique centrale, coincée quelque part entre Belize, le Guatemala et le Mexique.



J’ai trouvé de roman pulp plutôt bien écrit, il y a du rythme, de l’action, l’incipit nous met tout de suite en haleine : “La mort rôdait dans l’obscurité.” De la tension dès les premières lignes, et quand apparaît le héros, on devine tout de suite que ça va chauffer et qu’il vaut mieux être dans son camp. Mise en scène théâtrale, cinématographique, et ça chauffe bien dans les bastons, avec de la grosse artillerie. La violence est bien présente, mais Doc Savage et sa bande ne meurent jamais, bien entendu, les dommages sont unilatéraux. C’est de l’héroïsme un peu désuet, teinté de virilité, au fond bien belliqueux, de l’aventure à tendance militaire. Doc Savage redresse les torts et punit les méchants, c’est simple, primaire, mais ça marche, le récit accroche, le rythme est soutenu, et on a envie de le lire d’une traite.



À noter que Doc Savage séduit, mais il repousse la prétendante, une très belle princesse pourtant, parce l’aventure l’accapare entièrement, il y a un petit côté puritain, c’est l’époque où les femmes entrent dans le romans d’action, avec les années trente, c’est avènement du cinéma Hollywoodien, la séduction entre en jeu, mais ça reste encore très sage.

Comparé à d’autres créations populaires de l’entre deux guerres, on sent un souci de cohérence, et la figure emblématique du personnage en impose tout de suite, le Héros avec un grand H avec tout le kitsch que cela comporte, c’est la grande époque des “pulp heroes”.



J’ai dévoré ce roman, j’ai apprécié le pulp désuet, et j’ai été happé par l’action, il n’a d’ailleurs pas d’autres prétentions, contrat rempli pour l’auteur.



Kenneth Robeson est un nom générique, il s’agit en réalité ici de Lester Dent, mais le personnage étant la propriété de la maison d’édition, cela permettra plus tard de continuer avec la plume d’un autre auteur et toujours le même nom d’auteur.

Un des héros de mon enfance (il y a donc quelques années ....), découvert grâce à la collection Marabout (où on trouve aussi les Bob Morane, autre madeleine proustienne de bien des lecteurs mais je m'égare). Un des tout premier super-héros en fait, on ne savait pas trop d'où il venait mais avec sa force, son savoir encyclopédique, et sa cohorte d'amis tous plus savants l'un que l'autre il ne pouvait que travailler sans cesse à sauver le monde. Histoires avec toujours un brin de fantastique ou de SF, charme réel mais qui certainement serait un peu désuet aujourd'hui. Mais c'est l'un de ceux qui a fait de moi un bibliovore féroce.

Fuyant les hommes lancés à sa poursuite Bandy réussira-t-il à parler du crâne rouge à Doc Savage avant que la mort n'arrête sa course folle...

Ainsi commence une des aventures les plus connues et les plus passionnantes de l'homme de bronze.

Parus dans la collection pocket marabout au cours des années 1970 ces fascicules sont les traductions françaises des aventures écrites par Kenneth Robeson durant les années 1930 et 1940.

Bien écrites, dans un style efficace, elles sont pour la plupart originales et passionnantes.

"Et puis tout à coup, il apparut fantastique, irréel...Un visage qui n'avait rien d'humain : verdâtre, d'un vert étrangement lumineux, particulièrement horrible..." L'homme de bronze et ses compagnons font face dans cette passionnante dixième aventure à un ennemi aussi redoutable que fantastique, qui fait forcément penser au terrible "Fu Manchu" de Sax Rohmer.

Ce roman d'aventures, flirtant avec le fantastique, est un très bon opuscule de littérature populaire américaine, datant des années 30.

Kenneth Robeson nous raconte dans ce volume des éditions "Lefrancq" les aventures de doc Savage, l'homme de bronze.

Ce sont les premières, parues dans les années 30, qui ont pour titres : "l'homme de bronze", "le pays de l'épouvante", "sur la piste de l'araignée", "le trésor polaire", "le pirate du pacifique", "le crâne rouge", "l'oasis perdue" et "l'ogre des sargasses".

Ces aventures ont été rééditées en France dans les années 60 et 70 par Marabout dans les collections junior et pocket.

Doc Savage est un superhéros, entouré d'une équipe composée de personnages atypiques, dont les aventures flirtent souvent avec la SF et le fantastique.

Ces récits d'aventure sont assez passionnants et tiennent en haleine, souvent par un style rapide et des péripéties nombreuses et imaginatives.

Un espion aux doigts rouges, les hauteurs vertigineuses d'un gratte-ciel new-yorkais, la mort ?

Un homme taillé dans le bronze et dont les yeux sont de l'or en fusion, cinq assistants, une équipe sans précédent lancée dans l'aventure la plus dangereuse qui soit !

Le premier tome des aventures de l'homme de bronze et de ses compagnons, écrit en 1933 par Kenneth Robeson, est ici traduit pour la collection pocket marabout.

Il inaugure une quarantaine de volumes chez Marabout qui reprendront des aventures originales, étranges et pour la plupart fantastiques.

Ces aventures sont de plus bien écrites dans un style rapide et efficace mais qui cache un côté désuet donnant à ces aventures un cachet inimitable.

Kenneth Robeson le créateur de la série, environ 200 aventures écrites dont une quarantaine traduites et reprises chez les éditions "Marabout", est mort en 1959.

Il partagea son existence entre l'écriture et la recherche passionnée de trésors le long des côtes de Floride.

Ces aventures, teintées de science-fiction et de fantastique, ont le charme désuet d'une série B et nous ramènent aux souvenirs des héros de notre enfance.

Doc Savage, comme Jo Gaillard, Bob Morane, Nick Jordan, Kim Carnot Dylan Stark et Gil Terrail fait partie "des compagnons de l'aventure" des éditions "Marabout" pocket où junior.

Ses aventures, pleines de rebondissements et de péripéties teintés de fantastique sont souvent passionnantes et se lisent avec plaisir.

Sans être de grands moments de littérature, elles sont bien écrites et ont le charme de la nostalgie des héros des années cinquante.

De plus en plus difficiles à se procurer, certains tomes, de la la quarantaine parus chez Marabout, sont devenus "Collector", notamment les derniers beaucoup moins réédités.

Publié en 1935 aux USA, voici une des innombrables aventures de l’invincible Homme de Bronze, alias Doc Savage, et ses compagnons aussi typés que caricaturaux. Comme toujours, en dépit des talents soi-disant fantastiques, de nos cinq amis, Doc Savage assure lui-même – et seul – quasi toutes les péripéties, parvenant à se tirer de tous les mauvais pas. Il triomphe ainsi des embuches placées sur sa route par son adversaire, cette fois un comte Russe aux intentions malveillantes érigé en seigneur d’une île perdue sur laquelle il exerce son droit de vie et surtout de mort.



Comme tous les DOC SAVAGE, celui-ci avance a bon rythme en dépit de quelques répétitions inévitables d’un bouquin à l’autre (les descriptions de l’Homme de Bronze et de ses alliés, ainsi que leurs capacités hors du commun) et de passages utilisant un comique là aussi de répétition (les disputes de nos héros et les facéties du cochon Habeas Corpus). Précurseur de James Bond, notre invincible héros dispose de tonnes de gadgets dissimulés dans ses vêtements ou sa montre, lesquels lui permettent de se sortir de toutes les péripéties à la manière du serial (l’acide pour faire fondre les menottes qui l’emprisonnent, la lumière aveuglante pour déstabiliser ses adversaires, etc.).



Le méchant, lui aussi, possède des armes bizarres (une bague capable de tuer à distance même si l’explication de son fonctionnement laissera perplexe les plus naïfs) et règne sur son île perdue gardée par des iguanes géants, des crabes agressifs aux pinces meurtrières, des requins redoutables, etc. Sans compter des serviteurs fanatisés et la jungle elle-même truffée de pièges.



Ecrit par Ryerson Johnson sous le pseudo collectif habituel de Kenneth Robeson, ce mélange de thriller, de fantastique, de SF à la Jules Vernes, de clichés d’épouvante à l’ancienne, d’aventures exotiques, d’humour, d’action et de conventions « super héroïques » avant la lettre fonctionne excellement !



De la grande littérature, LA FOSSE AUX MONSTRES n’est pas ! Il s’agit par contre d’un divertissement rondement mené et extrêmement efficace, constamment plaisant, qu’il est difficile de lâcher une fois entamé (d’autant que le livre se lit en 2h30 vu qu’il ne compte que 150 pages). Un très bon exemple de pulp (ou de littérature de gare) réussi et une porte d’entrée évidente dans l’univers déjanté et attrayant de Doc Savage et ses joyeux compagnons.
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Lâchement attiré dans un piège où il tombe par excès de confiance et de générosité, Doc Savage est capturé par la bande de pirates menée par High Lar.

Bien sûr l'équipe de l'homme de bronze veille mais il est difficile d'affronter un ennemi à la fois aussi inaccessible et aussi bien organisé pour le crime !

Cette 37ème aventure de Doc Savage, héros emblématique de la collection pocket marabout avec Bob Morane, Dylan Stark, Jo Gaillard, nick Jordan, Gil Terrail et Kim Carnot, est une des dernières de la quarantaine éditée.

De ce fait elle est assez rare.

Le fantôme du roi Jean sans terre hante les plaines marécageuses du Wash et terrorise les habitants de la région.

Pendant ce temps à Brest, la jolie Elaine Mills se trouve entrainée dans une aventure affolante.

Son oncle serait-il vraiment magicien ?

L'énigme est bien embrouillée mais Doc Savage s'est mis en tête de la résoudre...

Un des plus passionnants épisodes des aventures de l'homme de bronze parus chez pocket marabout et un des plus difficiles à se procurer aujourd'hui.

Ancêtre des super-héros , né en 1933 et poursuivi en saga par la plume d’un collectif de plumitifs ,Doc Savage est un prototype devenu depuis stéréotype. Savoir quasi encyclopédique , force et résistance surhumaines , chasteté et morale, le tout acquis par l’éducation plus que par accident (irradiation, mutation..) . Ce premier volume pose les bases : venger le père (mais il fallait qu’il fût tué pour que se déploie le héros) , acquisition d’une fortune illimitée , présentation des acolytes (pittoresques mais réduits au statut de faire-valoir par l’omniscience du Boss ) . Pour le reste , des ennemis issus de civilisations oubliées (sauf par Doc qui cause maya) , des méchants laids et cupides , une belle princesse (bien déçue , le prince charmant d’une froideur de bronze !) et de péripéties aussi nombreuses qu’irréalistes. Cependant ,j’avoue ma tendresse pour cette littérature feuilletonnesque qui sacrifie allègrement la raison à l’imagination ludique.

Cette fois, l'inexplicable s'ajoute au mystère, et c'est sans rien y comprendre que l'homme de bronze est entrainé dans une aventure plus terrible que jamais.

Quelle est cette étrange maladie qui fait perdre connaissance ?

Qui est le ténébreux Mc Cain ?

Pourquoi un homme affamé préfère t il mourir plutôt que de toucher à de la nourriture ?

Heureusement Doc Savage trouvera la solution de l'énigme en résolvant le mystère de l'aigle vert.

Cette 23ème aventure de l'homme de bronze, parue en 1975, est une des plus réussies et s'avère passionnante jusqu'à son épilogue.

Une bande de brigands arabes et leur chef, le diabolique Mohallet, posent à Doc Savage une série d'embuches plus pernicieuses les une que les autres. L'homme de bronze fera appel à tout son courage et à toute son endurance pour faire face à cette succession ininterrompue d'épreuves mortelles mises sur son chemin, depuis le rocher hurlant d'un désert impitoyable jusqu'à l'affrontement sans merci avec d'immondes créatures préhistoriques...Ce neuvième chapitre des aventures de l'homme de bronze, écrit en 1933 par Kennet Robeson, est très réussi.

C'est un bon roman d'aventures fantastiques dont la lecture révèle bien des plaisirs.

Sixième roman de la grande saga de Doc Savage, L’OASiS PERDUE se montre particulièrement efficace et distrayant.

Ecrit en 1933, il combine tous les ingrédients nécessaires à un bon « pulp » : de méchants criminels ayant réduits quelques infortunés en esclavage pour exploiter une mine de diamants, des dirigeables, des chauve-souris vampires géantes aux dents empoisonnées (!) utilisées comme instruments de mort, une expédition dans la jungle, des plantes carnivores,… Les recettes sont typiques de l’époque et rappellent également les serials : si un personnage tombe d’un immeuble on apprend deux pages plus tard qu’il s’agissait d’un mannequin hâtivement confectionné (aucune vraisemblance n’étant requise) et si l’hélicoptère des héros est détruit, le chapitre suivant nous révèle qu’ils s’en étaient inexplicablement échappés ! Et, bien sûr, si un compagnon de Doc est empoisonné par les méchants, l’Homme de Bronze analyse immédiatement la substance mortelle et élabore, avec les moyens du bord, un antidote. Plus fort que McGyver, Rambo et James Bond réunis !

Comme toujours, les capacités exceptionnelles de Doc Savage, véritable super-héros invincible et même prototype des « super slip » des comics (d’ailleurs il se balade, dans les premiers chapitres, seulement vêtu d’un slip de bain !) éclipse totalement ses cinq compagnons réduits au rôle de sidekicks humoristiques. Dommage car ces derniers possédaient un réel potentiel. Mais qu’importe, lire ou relire Doc Savage reste l’assurance de deux ou trois heures d’évasion pure dans un mélange totalement invraisemblable mais réjouissant de polar, d’action, d’aventure, de fantastique et de science-fiction. Hautement divertissant !


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Doc Savage fut mon héros. Il semble même qu'il inspira le créateur de Superman. Mais Doc Savage n'a pas de pouvoir comme les supers héros.

Il a maximiser sa force à travers sa force musculaire et surtout avec ses sens, grâce à des exercices journalier, que sont père lui à inculquer dès son jeune âge. Il peu grâce a la force de ses doigts s'escalader sur un mur de brique, sentir et reconnaitre un odeur et, entendre des sons inaudibles pour la majorité. C'est ce qui me fascinait est que son «pouvoir» était naturel et non surnaturel ou venant d'une autre planète.je trouve qu'il ferait un bon exemple de héros aujourd'hui. Qui maximise ce qu'il est et avec ce qu'il a en lui. Durant ses missions accompagné avec une équipe assez hétéroclite, lorsqu'il se concentrais face à un problème ou un énigme soudainement il émettais un son strident, on savait que la solution arrivait. Un très beau souvenir.

Grâce au griffonnage presque illisible tracé par une main horriblement mutilé, Doc Savage et ses compagnons - Renny l'ingénieur aux poings d'acier, Johny le géologue, Ham le brillant avocat escrimeur, Long Tom le physicien magicien de l'électricité et Monk le chimiste massif - possèdent un indice qui leur permettra de percer le mystère de Taz, comme celui du cruel et sanguinaire capitaine Flamingo...

Ce chapitre des aventures de Doc Savage révèle bien des surprises et des rebondissements. Ce volume de la collection pocket marabout est un excellent livre d'aventure et se lit avec énormément de plaisir.

Tandis que dans la nuit, les tam-tams font entendre leurs roulements sourds, un homme s'écroule, déchiré par cinquante coups de tomahawks.

Doc Savage réussira-t-il à faire taire ces sinistres battements de mort et à mettre fin aux crimes sauvages des guerriers du diable.

Cette vingt-quatrième aventure de l'homme de bronze et de ses compagnons est passionnante et pleine de péripéties étonnantes.

Il peut paraitre ridicule de prétendre qu'une main d'homme ressemble à un papillon.

Pourtant...Mais sans doute était-ce dû à la manière hésitante qu'elle avait de se déplacer, de s'immobiliser, pour repartir soudain.

Et il y avait quelque chose de hideux dans cette façon de voleter sans arrêt comme une grande mite blanche et venimeuse.

Quand à l'homme lui-même...

Parue pour la première fois en 1935 cette aventure étrange, originale est écrite dans un style un peu désuet qui lui donne beaucoup de charme.

C'est un chapitre incontournable des aventures de Doc Savage.

Les illustrations y sont aussi très soignées.