Cela n'avait toujours aucun sens pour moi. Une fois à l'étage, je me mis à fouiller parmi les monceaux de livres dans l'espoir qu'un indice me sauterait aux yeux. Au lieu de ça, ce fut une énorme araignée qui me passa sous le nez!
Après un bref accès de panique, je pris mon courage à deux mains et capturai la vilaine bestiole à l'aide d'un verre que j'abattis sur la couverture du livre sur lequel elle se promenait. Je détestais les araignées, mais leur salive, leurs pattes et leurs poils étaient de précieux ingrédients.