J’ai toujours pensé que mon père était trop bien pour ma mère. Elle n’a jamais paru l’estimer à sa juste valeur, toujours sur son dos à lui donner des ordres tel Napoléon envoyant ses troupes en Russie. Et, comme Napoléon, elle est allée trop loin. Je regrette l’inconfort et le malaise que crée cette situation, je regrette que la physionomie de notre famille en soit altérée à jamais, mais il semble qu’elle a bien cherché ce qu’il lui arrive.