J’avais compris que pour survivre je devais me transformer en caméléon, changeant de façon à m’adapter à chaque environnement dans lequel je me trouvais. Si c’était le silence et la docilité qu’ils réclamaient, je les satisfaisais, Les mais soigneusement pliées sur mes genoux ; s’ils voulaient que je chante, je chantais avec enthousiasme : je me pliais à leurs quatre volontés. Mon meilleur déguisement était la transparence.