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3.72/5 (sur 132 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Laura Kaye est l'auteur de plus d'une douzaine romances contemporaines et paranormales.

Elle vit dans le Maryland avec son mari et ses deux filles.

site:
http://www.laurakayeauthor.com/

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Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
Crois-moi, personne ne rentre de la guerre indemne
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— Je vais bien.
— J'en suis ravi. Mais j'aimerais quand même prendre soin de toi. J'en ai besoin, reprit-il après un bref silence. Pas parce que tu ne peux pas le faire seule, mais parce que ça m'est nécessaire. Aly, j'ai besoin de te voir, de te toucher et d'avoir la preuve que lu vas bien, que tu es toujours là près de moi. Que je ne t'ai pas perdue cette nuit.
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— Alors, Becca, il est bon, ce Sloppy Joe préparé avec amour ?
— Oh, oui, répondit-elle en s’accoudant au bar. C’était super bon.
Elle semblait ne pas saisir l’allusion de Jeremy, pourtant pas très fine.
Nick, si. Et il connaissait suffisamment son gros malin de frère pour savoir qu’il allait être comme un bouledogue sur un os. Il ne cesserait pas, même s’ils le suppliaient. Par ailleurs, ce petit manège allait saper ses efforts pour établir avec elle un rapport sans stress.
— Jeremy, dit-il en appuyant chaque syllabe pour souligner la mise en garde que son frère entendrait sans le moindre doute.
Avec un rictus, son frère ajouta :
— Eh ben, c’est vraiment chic de sa part d’avoir…
Nick attrapa la poêle sous le nez de Jeremy et alla se planter devant la poubelle, qu’il ouvrit en appuyant sur la pédale.
— Hé ! s’écria le cadet dans un sursaut de stupeur, attentif au moindre mouvement de son aîné.
— Tu disais donc ? demanda Nick tout en inclinant la poêle à quarante-cinq degrés au-dessus de la poubelle, prêt à jeter les restes.
Jeremy eut un hoquet d’horreur et leva les mains pour arrêter Nick.
— Mais t’es taré ? Tu peux pas… Pas du Sloppy Joe ! implora-t-il avec une grimace presque comique, la bouche ouverte et les yeux écarquillés.
Becca fit passer son regard de l’un à l’autre avec un sourire déconcerté. Nick lui lança un clin d’œil, puis reporta son attention sur son frère et haussa les sourcils. Jeremy savait très bien pourquoi il faisait cela.
— OK, OK, céda son cadet en roulant des yeux avant de pointer du doigt la cuisinière. Maintenant, éloigne-toi de cette poubelle. Pas de geste brusque.
Nick décocha à son frère un regard noir, reposa la poêle sur la plaque et lâcha lentement le manche. Jeremy la ramena vers lui et la protégea de son corps comme s’il s’agissait de son tout-petit. L’ex-soldat se mit à ricaner.
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Tout ça s'annonçait mal.

— Comment se fait-il que tu ne m'aies pas prévenue ? interrogea-t-elle en tirant sur son tee-shirt.

— J'ai essayé. Tu as oublié ? Je t'ai appelée. Deux fois.

Le regard de Brady passa de l'un à l'autre, avant de se fixer sur Marco, glacial. Une boule au creux de l'estomac, elle expliqua :

— La communication était trop mauvaise : je n'ai pas compris ce que tu me disais. Peu importe, décréta-t-elle en balayant l'air de la main. Tu es là, c'est tout ce qui compte.

— Peut-être que si tu m'avais compris, tu serais habillée en ce moment, répliqua-t-il d'un ton sec. Avec tes propres vêtements.
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- Mais ça ira, reprit-il. Je vais arranger ça (Refusant de croire que cela lui serait impossible, il se tourna vers Marz) Pourquoi tu étais si heureux de me voir ? Enfin, je veux dire, mis à part le fait que je suis phénoménal ?
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Chapitre 4 :
"... Repenser à ses camarades tombés l'aida aussi à se rappeler que la femme à côté de lui était une pièce maîtresse de leur mission, et rien de plus. Il ne devait absolument pas lui courir après... Sauf pour obtenir des informations sur Manny Garza.
Alors reste concentré !
Il vit quelque chose bouger la périphérie de sa vision, puis la main d'Emilie se posa délicatement sur son avant-bras, et il tourna brusquement la tête vers elle.
- Je suis désolée. je vous ai appelé, mais vous ne m'avez pas entendu. Est-ce que ça va ?
- Oui. Je réfléchissais simplement à... Au boulot, se justifia-t-il.
Il se flanqua un bon coup de pied mental pour s'être laissé distraire ainsi. Ce fut alors qu'il remarqua qu'elle avait rassemblé la plupart de ses affaires entre ses bras.
- Au cas où quelqu'un viendrait pour débarrasser ma table, pourriez-vous lui dire que je ne suis pas partie ? Je dois simplement aller aux toilettes, dit-elle en faisan un geste en direction du fond de la salle.
- Pas de problème. Votre sandwich ne craint rien avec moi. Enfin, sauf si vous tardez à revenir ; dans ce cas, je ne peux rien garantir.
- Essayez de résister.
Comme si ces mots avaient fait tomber une barrière en lui, il coula sur elle un regard concupiscent.
- Toute résistance serait inutile, dit-il en lui adressant un clin d'œil.
Elle se passa la langue sur les lèvres et avala sa salive. Ses yeux toujours pétillants de facétie étaient plantés dans les siens.
..."
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— Au pied, ma fille, appela Becca en tapant dans les mains.
La chienne sortit de la pénombre de sa démarche syncopée et vint les rejoindre.
— Et pourquoi pas Killer ? suggéra-t-il en ouvrant la porte du bâtiment. Au moins, c’est mixte.
Alors qu’ils traversaient le hall de la cage d’escalier, Becca hésita entre rire au nez de Nick ou lui demander si quelqu’un l’avait fait tomber sur la tête quand il était bébé. 
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Chapitre 2 :
"...
- Allô ? dit-il en se figeant complètement. Oui. Compris. (Il raccrocha et rangea son téléphone dans sa poche avant de se remettre debout.) Je dois y aller.
- Comme ça ? protesta Emilie avec un soupir désabusé. u n'as rien d'autre à dire. Tu viens de sortir une arme à feu chez moi, tu as failli me faire avoir une crise cardiaque, tu viens de détruire 200 dollars de fringues, et tu comptes partir comme une fleur ?
En une fraction de seconde, Manny était venu se planter juste devant elle, les yeux exorbités et pleins de haine, les lèvres retroussées.
- Ne me cherche pas, Emilie. Compris ?
Il la fusilla ainsi du regard pendant de longues secondes, et elle ne put finalement que ravaler sa rancœur et acquiescer. Manny rangea sa lame, puis sortit son portefeuille et en extirpa quelques billets qu'il lui fourra entre les mains.
- Ouvre l'œil, mais ferme-la.
Alors, il franchit la porte de chez elle, grimpa dans son Hummer et s'en alla.
Emilie baissa les yeux sur ses mains, entre lesquelles son frère avait déposé une liasse de billets de 100. Elle en compta quatorze."
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— Vous avez du cran. Ça me plaît. N'ayez jamais peur de vous vendre,
ma belle. Personne d'autre ne le fera pour vous.
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À ce moment, les deux autres couillons se joignirent à lui.
Puis, de façon inattendue, le chiot se mit à hurler. Becca regarda autour d’elle et vit la petite chienne assise tout en haut de l’escalier, le museau levé vers le plafond, hurlant à la lune comme pour accompagner les trois hommes.
La porte de la salle de musculation s’ouvrit à la volée.
— C’est quoi, ce cirque ? s’écria Beckett, Easy et Marz sur les talons.
La jeune femme secoua la tête, elle-même gagnée par l’hilarité générale, et gagna le haut des escaliers.
— Je les ai cassés. Désolée.
Beckett la dévisagea avec étonnement. Comme si c’était elle la foldingue au milieu de cette chorale chantant à tue-tête « Toora, toora, to loora, ay. 
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