Je m'accrochai à Jean-Claude comme si il était la dernière chose normale en ce monde. Je me recroquevillai contre lui et pleurai. C'était comme si quelque chose en moi s'était brisé et que mes glandes lacrymales évacuaient ses débris sur lui.
Sa voix me parvint, vague et distante comme s'il parlait depuis un bon moment mais que je ne l'avais pas entendu. Il parlait en français, doucement, chuchotait dans mes cheveux, me caressait le dos, me berçait.