Sur les fresques de San Lorenzo, que vous étrillez sans pitié comme s'il s'agissait de quelque étal de boucherie, certes je ne saurais vous contredire car je ne les ai pas encore vues , mais d'après ce que vous m'en avez dit, l'idée n'est pas sans rappeler la Sixtine. Or, quand c'est Michel-Ange qui empilait les corps nus, arrêtez-moi si je me trompe, mais, jusqu'à preuve du contraire, vous trouviez cela merveilleux. Je sais bien que les temps changent, mais vous n'êtes pas obligé de changer avec eux.