Le respect de l’immigré, considéré individuellement, vis-à-vis du patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil est mentionné, on regrette cependant que le Catéchisme omette la dimension collective du phénomène : c’est-à-dire que ne soit pas mentionné explicitement le droit du pays d’accueil à considérer qu’une immigration trop massive mette en danger de facto son patrimoine matériel et spirituel, soit qu’il soit une charge trop lourde à porter pour la prospérité du pays, soit qu’il menace son identité profonde. « Dans cette matière, en effet, ce ne sont pas les seuls intérêts des immigrants, mais aussi la prospérité du pays qui doivent être consultés