Et soudain, la guerre devint pour elle une réalité tangible, de cris de souffrances, d’odeurs infectes et de peur si intense qu’elle flottait au-dessus des corps martyrisés comme un nuage aigre. La guerre à l’état brut, sans le filtre esthétisant d’Hollywood ou des journaux télévisés. Sans même le filtre familier et rassurant du viseur de son Leica.