Une semaine s’était écoulée et l’enquête sur la mort d’André Quesnel n’avait pas beaucoup avancé. Garroni, la légiste qui avait pratiqué l’autopsie, n’était sûre que d’une chose : l’expert-comptable était mort noyé. Du fait d’une main criminelle ou de l’absorption d’une trop grande quantité de somnifères, elle n’avait pas voulu se prononcer. Quant aux draps envoyés à la police scientifique, les résultats de l’analyse ADN n’étaient toujours pas arrivés.