Cette semaine, Niagara était à l’affiche. Sage l’avait vu au moins dix fois, mais il ne s’en lassait pas. Rose Loomis, le personnage interprété par Marilyn Monroe, avait la beauté du diable et la cruauté d’une mante religieuse. Loin des maigrelettes, des masculines, des liftées et des body-buildeuses, Marilyn exhibait des formes qui permettaient encore, à sa grande époque, de distinguer une femme d’un homme.