LEON DIERX (1838-1912)
J'ai voulu vivre sourd aux voix des multitudes,
Comme un aïeul couvert de silence et de nuit,
Et, pareil aux sentiers qui vont aux solitudes,
Avoir des songes frais que nul désir ne suit.
(Strophe lue au hasard au Jardin des poètes, Paris 16ème)