Car il devait en plus décider, avant l'arrivée de la mort, s'il brûlerait ou non Paris est une fête. C'était un beau livre sincère, mais il contenait trop de choses définitives, qui seraient sûrement retenues dans l'avenir. Mû par une sensation de gêne, il s'était senti obligé de garder le manuscrit dans l'attente d'une lueur susceptible d'éclairer son sort : l'imprimerie ou les flammes.