Elle vivait en ascète, principalement de l'héritage que lui avait laissé sa grand-mère. Selon son frère, Michal estimait que, puisque sa grand-mère était rescapée de la Shoa et réfugiée, utiliser son argent pour secourir des réfugiés était la manière la plus digne de respecter sa mémoire. Cette conception mettait en rage sa famille.