J'aurai pu le laisser s'en aller, accepter que ma rancoeur me bouffe encore plus. Il était facile d'imaginer que la prochaine fois, il resterait encore moins longtemps. Et moins longtemps encore la fois d'après. Jusqu'à ce qu'il ne reste plus que des secondes de nous s'éparpillant dans le temps, juste avant de disparaître.