Pour satisfaire mes ambitions journalistiques, ma rédactrice me confiait de temps à autre la critique d’un bouquin ou d’un disque lorsque la revue avait besoin d’une petite main supplémentaire. Mais, à mes yeux, le plus excitant, c’était la chronique que je tenais dans l’édition anglaise du magazine, au grand désespoir de ma mère.