- Tu n'es pas une laissée-pour-compte. Mais tu as ma permission pour te cacher dans les recoins, ma douce, à condition que tu m'y emmènes avec toi. En fait, je te le demande instamment. Je préfère t'avertir : Je me conduis très mal dans ce genre de situation. Je te débaucherai probablement sur un balcon, dans une gloriette, sous un escalier et derrière tout un assortiment de plantes en pot. Et si jamais tu t'en plains, je me contenterai de te rappeler que tu aurais mieux fait de ne pas épouser un vaurien dépourvu de conscience.