BERTRAM : Hélas ! je voudrais que vous puissiez mourir en paix avec moi. Je n'ai point cherché à jouer le rôle que je joue, j'y ai été forcé... Dites que vous me pardonnez, quoique je ne puisse jamais trouver mon pardon. Ne me regardez pas avec cet air de courroux.
ISRAËL BERTUCCIO : Je meurs et je te pardonne.
CALENDARO : Je meurs et je te méprise.
(Acte V, Scène 1)