Il faut y mettre du sien, bien sûr, comme dans tous les voyages. Au premier abord, on ne voit que la pauvreté, la beauté vient après. Elle émane des regards et des attitudes, elle découle des couleurs et des nuances. C'est un geste, une façon de marcher, c'est dans le port de tête. Aucun guide, aucune carte postale ne saurait restituer cette fierté, cette dignité.