Mais pourquoi Charlotte écrivait-elle avec tant de passion, avec cette fièvre d'inventer des vies et des événements ? (...) Elle l'avoue elle-même en toute simplicité à son éditeur, dans une lettre du 29 août 1949 : " écrire fut un bienfait pour moi. Il m'a enlevée à la triste et sombre réalité."