L'existence en forêt n'est guère agréable en ces jours de froidure — le franc soleil de l'été n'est pas encore venu — et l'on risque de s'égarer dans les halliers où précisément l'une des commères s'est déjà fourvoyée. C'est un jouvenceau, paraît-il, jailli d'un buisson comme l'un de ces Korrighans qui courent les landes bretonnes, qui la remit dans le bon chemin, et disparut aussi mystérieusement qu'il avait surgi du taillis.