entre elle et septembre, cette vacuité où la main s’applique, la certitude que les images résistent même si les illusions viennent à manquer. car l’automne survient sans qu’on l’invente, comme intervalle entre les mondes
elle sait bien que les choses arrivent quand les corps, méthodiques, survivent à leurs conséquences : un geste, ce geste, des doigts le long de sa nuque