Était-elle pourtant assez imbécile, assez monstrueuse, cette chanson pour la reine d’une victoire que devaient invoquer, à la même heure, simplement avec des voix plus justes, des milliers et des milliers de Bavarois, de Badois, de Hongrois et d’Autrichiens ! Animale stupidité de tous ces peuples qui prétendaient mobiliser jusqu’à leurs bons dieux et leurs Maries pour leurs plus sanglantes et féroces discordes. Quelle saloperie qu’une guerre qui déclenchait d’aussi misérables et repoussantes émotions !