Charles devais retrouver Agata à cinq heures à côté de la voiture, dans un parking. La brume s’était levée et un soleil de fin d’après-midi briller. Il la vit s’avancer vers lui et sourit. Son épaisse chevelure était de nouveau d’un brun luisant, et son visage avait été habilement maquillé. Elle portait un ensemble en tweed souple couleur bruyère. Ses très jolies jambes été mise en valeur par des collants fin et une paire d’escarpins neufs. Agatha ne serait jamais une beauté, se dit Charles, mais elle dégageait un puissant magnétisme sexuel dont elle n’était absolument pas consciente.