L’image de mon père mort effaçait toutes les autres : l’amour mêle souvent l’idée de la mort à celle du bonheur ; mais ce n’est pas la mort dans l’appareil funèbre dont j’étais environné, c’est l’idée de l’éternité, de l’infini, d’une éternelle réunion, que l’amour cherche dans la mort ; il recule devant un cercueil solitaire. (Édouard, Folio, p.128)