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Critiques de Maggie Cox (9)
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L'amant irlandais

"Il l'avait aimé de tout son cœur. Pour elle, il aurait décroché le soleil, la lune, et les étoiles. Mais elle ne lui avait même pas laissé le temps de lui dire à quel point elle comptait pour lui !"



Une longue allée, une somptueuse maison, une réalité cruelle, une communauté rurale, la pression familiale, des souvenirs lointains, de la dissimulation, de la cruauté, de la trahison, de l'hostilité, du chagrin, du mystère, du trouble, de la beauté, un jugement sévère, de la culpabilité, un regard dur, se sentir acculée, des nouvelles responsabilités, un spectacle magnifique, du charme, de la force, les fantômes du passé, de la véracité, du réconfort, un lien magique, un doux parfum, du pardon, de la passion...



Flynn avait perdu tout espoir de revoir Caitlin.

Cette dernière, après quelques années d'exil, rentre au pays.



Leurs retrouvailles vont leur provoquer des sensations contradictoires et intenses.



Une ardente romance en terre irlandaise.











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Fiancée sur contrat

Je vais parodier un peu les Inconnus : Quelle est la différence entre un bon Harlequin et un mauvais Harlequin? Ben le mauvais Harlequin c'est celui où une femme et un homme que tout oppose ou presque tombent amoureux et le bon Harlequin c'est celui où une femme et un homme que tout oppose ou presque tombent amoureux, mais c'est pas la même chose. Il y a ce petit truc en plus. Et clairement pour cet Harlequin-ci, ce petit truc en plus n'y était pas.

C'est une lecture sans intérêt où tout se passe trop vite (mais finalement heureusement car pas sûre que j'aurai été au bout autrement). L'histoire vraiment bof, les personnages caricaturaux et manquant profondément de profondeur. Alors, oui, me direz-vous, à quoi t'attendais-tu en lisant un Harlequin? Ce n'est pas de la grande littérature et pourtant, j'en ai lu des très bons, beaucoup moins mièvre et très intéressant.

Pour celui-ci, je dirais juste, passez votre chemin
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L'insoumise du désert - Rendez-vous avec le c..

Un double roman dans le désert. Le premier, signé Sarah Morgan, mélange émotion et suspens. Quant au second, il met au jour des retrouvailles sur fond de légende familiale.

Deux histoires passionnées dans le désert qui se lisent sans prise de tête. Une préférence pour l'histoire signée Sarah Morgan.
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Les terres du désir

Les livres où il n'y a rien à sauver sont extrêmement rares. En général, aussi mauvais l'ouvrage soit-il, on parvient toujours à y trouver quelque chose de positif à souligner. Sans oublier les points pour lesquels l'appréciation est subjective : le rythme lent qui déplaît à untel pourra être un avantage aux yeux de quelqu'un d'autre, par exemple.



… Mais parfois, on a beau vouloir être indulgent, y mettre toute la bonne volonté du monde, quand on hésite entre rire et lever les yeux au ciel toutes les deux lignes tant rien ne va, il faut se rendre à l'évidence : on est tombé sur une bouse.



J'en lis beaucoup, des romans Harlequin. De vraiment très très bons (L'île des sortilèges, Un Noël plein de surprises, Le secret de l'île maudite...), de très agréables (la série Les princes immortels, Double révélation, Fais-moi taire si tu peux !, Les amants de Southern Cross...), parfois des sympa sans plus, des moyens et occasionnellement des (franchement) bof. Mais jusqu'ici, jamais rien au niveau de ce « Les terres du désir », où les deux protagonistes se sautent dessus en plein milieu de leur première conversation (visant à expulser la fille de chez elle, quand même) avant de revenir à leurs moutons comme si de rien n'était. Où le héros décide d'épouser la demoiselle, sans se soucier de son avis, deux secondes après avoir appris sa grossesse, et ce alors qu'ils n'ont passé en tout et pour tout que dix minutes ensemble dans leur vie. Et là, on n'est qu'à la page 40...



Devant cette accumulation affligeante de dialogues et de situations risibles, j'ai commencé à résumer brièvement ce que j'étais en train de lire sur Twitter. Ce n'est pas dans mes habitudes de descendre un livre, ne serait-ce que par respect pour l'auteur qui y a passé du temps, mais là, j'ai craqué. C'était trop, c'était tristement drôle, ça méritait d'être partagé. Le niveau du truc est tel que souvent, à peine avais-je posté un message que je me retrouvais à en taper un autre après avoir lu seulement dix lignes !

En soi, bien m'en a pris, car si mes twittos ne m'avaient pas réclamé la suite à cors et à cris, j'aurais très certainement abandonné ce truc.



Car le pire, ce n'est malheureusement pas le ridicule omniprésent d'un bout à l'autre... Le comportement toxique à l'extrême du héros (dominateur, ultra possessif, autoritaire), dictant sa conduite à sa dulcinée durant les 151 pages du récit, au point de ne pas la laisser voyager seule, de choisir les vêtements qu'il veut qu'elle porte, et bien évidemment ignorer le moindre refus en insistant encore et encore jusqu'à ce qu'elle cède s'avère beaucoup plus crispant que drôle. Au rire s'ajoute de plus en plus le malaise... Inutile de dire que la demoiselle, totalement sous emprise, se rebiffe de moins en moins. Ah, et on en parle du personnage gay servant tantôt de méchant, tantôt de faire-valoir ?



Bon. Avec un fond aussi mauvais, vous vous dites sans doute que la forme pourrait éventuellement sauver les meubles ? Même pas. Entre l'insertion maladroite de clichés, les brusques changements de sujet sans rapport avec la choucroute et l'utilisation répétée de mêmes ficelles scénaristiques, le déjà-vu côtoie le prévisible d'un bout à l'autre du livre.



Les terres du désir décroche ainsi sans mal la palme de ma plus mauvaise lecture de l'année, d'une des pires tout court et indubitablement de la plus malaisante, haut la main. C'est indescriptiblement mauvais et à tous les niveaux.



Voilà. Si jamais vous avez envie de rire un coup ou de vous rendre compte du niveau abyssal du machin, le livetweet se trouve à cette adresse : . La plupart des échanges sont certes condensés, mais tout est (malheureusement !) authentique.
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Un bouleversant Noël - Un cottage au bout du ..

Entamé en milieu de mois, il m'aura fallu plus de deux semaines pour venir à bout de ce recueil, ayant préféré passer mes nuits à écrire sans enchaîner les récits les uns après les autres. Coup de bol, le dernier roman s'achève peu après le nouvel an, ce qui m'a permis de rester dans les lectures de saison.



« Un bouleversant Noël » est une classique romance patron-secrétaire très bien menée. Si le travail des deux personnages n'y prend pas tant de place que ça et que la touche « Noël » y est discrète (la fête se passe au début du livre, le reste est situé sous les Tropiques), la relation entre les deux personnages est vraiment réussie. Depuis une relation de travail soudain troublée par une attirance au fake-dating, Jamie et Ryan apprennent à se connaître, bien que la demoiselle ait érigé une véritable forteresse autour d'elle. Ce n'est pas un simple prétexte, elle ne change pas brutalement de caractère en cours de route, mais apprend petit à petit à faire confiance, à s'ouvrir aux autres, à penser davantage à elle, aussi. En face, Ryan est un sucre, gentil, compréhensif, à l'écoute, curieux tout en sachant respecter les limites de Jamie. Alors forcément, c'est un plaisir de voir ces deux-là se tourner autour. La fin est un peu précipitée, mais à côté de ça, leurs relations familiales très compliquées apportant une profondeur bienvenue au récit, on ne va pas chipoter. (7/10)



« Un chalet au bout du monde » porte plutôt bien son titre français, les persos étant isolés pendant les 2/3 du roman au fin-fond de la campagne anglaise. Ok, pas le bout de monde, mais le résultat est tout comme. Si vous aimez les thèmes plus sérieux, l'histoire d'Ailsa et Jake, divorcés suite à un accident dont ils ont été victimes et ayant coûté la vie de leur second enfant à naître, vous plaira probablement. Au delà des vieux traumas, Ailsa ne demande qu'à aller de l'avant. Le problème vient plutôt de Jake, qui continue à esquiver le sujet... mais bon, même s'il se révèle un peu agaçant, c'est cohérent, il n'allait pas surmonter ça en un claquement de doigts. Et puis, il n'est ni abusif, ni dominateur, bref, un héros gentleman comme on les aime. C'est donc une histoire de retrouvailles très bien menée, en huis-clos, avec une chouette ambiance de saison. Si Maggie Cox avait précédemment décroché une place fort peu enviable sur le podium de mes pires Harlequins lus avec « Les terres du désir », cette fois, elle nous a vraiment offert une chouette histoire ! (7/10)



A l'inverse, « Un serment pour Noël » se catapulte dans mes pires lectures de l'année. C'est pas romantique pour un rond, mais niveau toxicité par contre, c'est du haut niveau. On a donc un type égoïste et manipulateur, précédemment largué par la femme qu'il négligeait, qui découvre l'existence de leur fille et décide d'imposer SA façon de faire, quitte à passer systématiquement outre l'avis de la mère, retenir celle-ci grâce au chantage, lui faire quitter son job sans la mettre au courant... C'est un fes-ti-val. Alors même si, dans les derniers chapitres, il semble devenir un mec « acceptable », on peine à vraiment croire à un avenir heureux pour Megan et Charlotte. Megan qui, de son côté, n'a pas envie de revenir avec lui avec mais s'avère incapable de résister à ses avances. Bilan, si leurs engueulades sont crédibles et justifiées, les changements d'humeur de Megan ruinent tout derrière... (4/10)



Si les deux premiers romans sont réellement sympas, le dernier fait refermer le recueil avec un arrière-goût amer...
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Une attirance inattendue

Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un simple Harlequin. J’ai bien accroché à l’histoire et aux personnages. C’est une jolie romance entre deux personnes blessés par leur premier amour et par la vie. J’ai passé un très agréable moment de lecture, cela a été un réel plaisir ^^
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L'enfant de Dante Romano

Merveilleux et romantique hummmmmm.
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L'enfant de Dante Romano

Histoire intéressante mais sans plus.
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Eprise de son ennemi - Une imprévisible séduction

Éprise de son ennemi, Sarah Morgan : 3/5



Une imprévisible séduction, Maggie Cox : 2/5
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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