« Des artistes, disais-tu, les gens ne retiennent que les paillettes, la bonne humeur, la poésie, l’ivresse. Ils ne voient rien des coulisses hantées par le doute, la solitude, l’angoisse, la pitance incertaine, les chutes inévitables quand les muses traînent la patte… » Et tu ajoutais, péremptoire : « Les saltimbanques ne meurent jamais parce que nous avons tous besoin de rêves… »