« Les entrechoquements des lames et les halètements des combattants se fondait dans une rumeur indistincte, cacophonie sourde accentuée par le sifflement du vent glacial qui semblait grimper dans les aigus lorsqu’un estoc ou une pointe ouvrait une plaie dans la chair. Deux ou trois rayons parvinrent encore à saigner sur le champs de bataille puis s’évanouirent. Les nuages s’égaillèrent, comme terrifiés, dans le ciel orangé, et Farhaz illumina le cirque d’un suaire argenté, témoin indifférente des aléas des hommes. »