Quand je sors de mon rêve, je vois la Réalité en face. Je me vois tel que je suis : faible, ignoré, insignifiant, impuissant, voué à un néant sans gloire. Alors, j’en veux au monde entier, à l’humanité. Mon cœur se gonfle de haine. Mais on ne peut pas haïr longtemps deux milliards d’hommes. Il faut qu’il y en ait au moins un qui paye pour les autres.