Seules la prise en compte effective des nouvelles forces – les médias, la science, la finance internationale – et la construction de l’Europe peuvent poser les problèmes dont l’enjeu est à la hauteur de ceux des époques révolues. Mais à condition aussi que se régénèrent des circuits plus effectifs entre le pays réel – avec ses communes, ses cantons, ses associations et autres institutions de la société civile – et une représentation nationale qui, politiquement, donne volontiers l’impression de faire chambre à part.