- Non, j'appelle cela de la compassion sadique. On contemple sur un écran les malheurs du monde en se réjouissant secrètement de ne pas les subir. Les téléspectateurs ne sont pas des croque-morts, ni des paratonnerres. Un journal télévisé ne devrait pas fatalement se voiler de crêpe noir. En conséquence, j'ai appris à m'immuniser en tournant le bouton.