Après la chute du régime, les croyants de toutes les confessions avaient reconstruit leurs lieux de culte endommagés ou détruits. Sokol était attristé de voir à quel point la religion était au cœur des conflits dans le monde. En Albanie, la liberté de religion était un fait acquis, mais en plus il y avait aussi une réelle tolérance, une ouverture à l’autre. Les mariages interreligieux étaient d’ailleurs très fréquents. Sokol se disait que beaucoup de gens auraient à apprendre de l’expérience de l’Albanie en matière de respect, de liberté de pensée, de conscience et de croyance.
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